sept petites années


des mots qui claquent dans la bouche d'une mère désespérée ;
comme la main qui s'abat sur ta joue sans aucun scrupule ;
une main incontrôlable.
ta fourberie à dépassé la limite.
une colère monstrueuse, une expression sans aucune pitié.
maintenant, ta maman est une autre personne. de toutes façons, elle a de multiples visages.
jamais elle n'ose lever la main sur ta figure sauf quand tu dépasse la limite vitesse.
le bouchon à été poussé un peu trop loin.
puis maman se laisse tomber sur le carrelage, elle a trop honte d'elle, de toi, de ses mots, de sa vie.
finalement c'est toi le monstre ;
même du haut de tes sept ans ;
tu savais qu'elle était dépressives.
elle voyait le monde en moins moins c'est-à-dire qu'elle se dévalorise et dévalorise les autres.
immonde la petite edel, pas fichue de d'aider maman.
tu rigoles à pleine gorge en sachant qu'elle va mal.

les rires étouffés s’échappent dans le long couloir pour la narguer et narguer sa colère. elle répète, jure presque sur la route de la vulgarité et a déjà renoncé à te suivre, te poursuivre, préférant sombrer sous le flot de larmes de son désespoirs. tu n’as que faire de ses remontrances, de sa rancœur, de son amertume.

tu fuis son regard qui te reproche depuis le premier jour, la misère de sa triste vie.
tu as peur d'elle finalement ;
tu l'aimes finalement.

onze petites années


le corps qui s'étire après une nuit de cauchemar ;

((oups pas fini))


Votre personnage par rapport à la Cité d'Ys. Quel est son avis dessus ? Y a-t-il toujours vécu  ? Vient-il de la Cité ou de la Banlieue ?


Les réactions de votre personnage face à la disparition des adultes.